Comme chaque année, voici venir le temps du court article de circonstance, histoire de commémorer la date anniversaire de la refondation de ce blog. Emmanuel étant occupé à polir son image de grand débatteur, Donald préférant Twitter et Vladimir ayant opté pour la chasse au loup dans la taïga, je vais donc m’infliger le discours laudateur convenant à la solennité du moment.
Six ans, ce n’est pas rien. C’est la moitié de douze. Lorsque j’ai débuté la publication de mes ridicules élucubrations, je ne savais pas jusqu’où l’exercice me mènerait. Il faut croire que cela n’a pas changé. Je ne sais toujours pas. Un coup d’œil sur les statistiques témoigne d’une audience raisonnable mais fidèle. Des followers inventifs et attentifs qui viennent agrémenter les articles de leurs commentaires avisés (je flagorne si je veux).
Une chose semble cependant certaine. La passion pour la lecture et l’écriture de compte-rendus anime toujours ma carcasse. Pour preuve, je m’amuse beaucoup en rédigeant ces quelques lignes. Et, je crains qu’il ne faille me supporter un an supplémentaire. Et plus, si affinités. Mais, n’oubliez-pas : The Future is unwritted. Envoie la musique, Joe ! Semons les petites graines et mangez des pommes !
Des pommes bio si possible. C’est marrant cette bonne année du premier mai.
J’apprécie aussi. ^^
J’ai fait piquer tous mes vieux blogs chez le vétérinaire, ils n’avaient plus de joie de vivre, étaient perclus de métastases et menaçaient de mordre ma femme, mais j’ai toujours plaisir à venir lire par-dessus ton épaule. Merci !
Merci. Je suis ému de savoir que derrière mon épaule altière, au moins une personne fixe l’horizon d’attente de mes élucubrations.
C’est le pire qui puisse t’arriver, au cas où tu veuilles cesser ton activité : un ami imaginaire qui t’exprime son silence attentif.
Je suis pas peu fier d’être une dystopie à moi tout seul.
De toute façon, « l’enfer, c’est les autres. »
Je n’ai pas la constance de ceux qui vous suivent fidèlement depuis des années mais j’apprécie ce blog et certains blogs qui y sont associés.
Merci. Au plaisir de lire vos futurs commentaires avisés (C’est aussi l’avantage de la rareté).
Merci à vous.