
Fatalité quand tu nous tiens. Funeste période que ce début 2022 qui voit disparaître Valerio Evangelisti après Joël Houssin. Ainsi va la vie.
Peut-être plus connu dans nos contrées pour le cycle de fantastique horrifique consacré au personnage historique de Nicolas Eymerich, réédité et prolongé à la Volte, Evangelisti était aussi un excellent auteur de Western, de roman noir et social.
Les habitués de ce blog pourront se faire une idée partielle sur ce dernier aspect de l’œuvre de l’auteur transalpin en consultant les chroniques de Black Flag, Anthracite et Briseurs de grève. Pour le reste, il me reste beaucoup à découvrir. Ciao Valerio.
J’ai lu ses Eymerich mais je trouvais ça bizarre – trop de mélange. Pas lu le reste – de western, c’est assez étonnant.
Pas lu Eymerich non plus. Va falloir que j’essaie, histoire de.
Le personnage est vraiment intéressant mais visiblement Evangelisti ne se donnait pas de bornes et ça donne une drôle de salade sur certains volumes.
C’est à cause de la mayonnaise.
Il faut absolument lire son roman noir paru à l’origine chez Rivages (je ne sais pas s’il y est toujours dispo) Nous ne sommes rien, soyons tout !
J’y compte bien. Je l’ai quelque part dans ma bibliothèque.
”La coulée de feu ” trouvé dans une librairie associative. Sur l’histoire du Mexique fin XlX e siècle,qui témoigne du grand talent de cet auteur.
Il fait partie des lectures que je dois rattraper. Mais, il y en a de trop…